Pour les Japonais comme pour les Français, le domicile est sans doute l’endroit le plus important. Passé ce constat, le rapport au logement diffère grandement entre nos deux cultures et la découverte d’une maison japonaise peut être déroutante. Il vaut donc mieux connaître les mots essentiels, mais aussi avoir en tête certains repères. Dans ce dossier, vous découvrirez tout le vocabulaire du logement en japonais : noms des bâtiments, pièces de la maison, équipements de base et jargon immobilier si vous comptez emménager au Japon.
Les bâtiments : où habiter au Japon ?
Avant de poser vos valises, déterminons tout d’abord où vous voulez habiter. Voici donc les types de bâtiments les plus courants au Japon.
アパート (apāto), le logement collectif de petite taille
En japonais, アパート (apāto), abréviation de アパートメント (apātomento) signifie « appartement », avec une nuance : celui-ci est généralement loué plutôt que possédé. Mais ce n’est pas tout : アパート, forme raccourcie de アパートメントハウス (apātomentohausu) désigne un habitat collectif de faible hauteur (deux niveaux maximum), souvent dépourvu d’entrée unique. Les logements sont alors tous accessibles depuis la voie publique.
L’apāto traîne une image de logement bas de gamme réservé aux foyers les plus modestes, mais il est tout à fait possible de trouver des bâtiments de bonne facture.
マンション (manshon), le logement XXL
Si マンション (manshon) provient bien de l’anglais mansion, ne vous attendez pas à pénétrer dans une résidence princière si un ami japonais vous invite dans son manshon ! Dans les faits, il s’agit d’un logement de bon standing, le plus souvent situé dans un immeuble en béton armé, avec les commodités habituelles (entrée unique sécurisée, local courrier, ascenseur…).
En règle générale, les appartements d’un manshon sont possédés en copropriété, mais il est de plus en plus courant de trouver des locations, forcément plus chères à surface égale que dans un apāto. Il n’est pas rare de trouver des immeubles affublés de noms prestigieux voire, disons-le, un peu pompeux. Ouvrez l’œil lors de votre prochain voyage au Japon !
Profitons-en pour évoquer un mot charmant : 億ション (okushon), qui désigne un manshon très haut de gamme. Il s’agit d’un jeu de mots jouant sur l’homophonie entre le マン (man) de マンション et 万 (man), « dix-mille », qui se voit remplacé par 億 (oku), « cent millions ».
団地, (danchi) les grands ensembles
Un 団地 (danchi) est un ensemble d’immeubles construits entre les années 50 et 70 pour répondre à la très forte demande en logements dans les zones urbaines. Autant dans leur fonction que dans leur architecture, ils s’apparentent aux grands ensembles de HLM bâtis en Europe à la même époque. S’ils étaient à la pointe de la modernité au moment de leur construction, la plupart des danchi ont mal vieilli et souffrent aujourd’hui d’une image négative. Par conséquent, les immeubles de danchi sont souvent soit rasés soit entièrement rénovés et le terme est évité par les promoteurs immobiliers.
Les danchi sont aujourd’hui prisés par une population d’origine étrangère, attirée par les loyers relativement bas et des exigences moindres de la part des bailleurs publics.
一戸建て (ikkodate), la maison individuelle
En japonais, la maison détachée se nomme 一戸建て (ikkodate, « bâtiment à une porte ») ou 一軒家 (ikken’ya, « maison unique »). Si elle est traditionnellement édifiée autour d’une armature en bois, la construction en béton est de plus en plus répandue.
Particularité des maisons japonaises : elles ne sont pas conçues pour durer au-delà d’une trentaine d’années. Plus que l’édifice, c’est l’emplacement qui est convoité par les acheteurs. Là où des Français pourront se laisser séduire par une maison des années 80, des Japonais n’auront aucun état d’âme à la raser pour en construire une neuve. Il n’est d’ailleurs pas rare qu’une famille fasse détruire son bien pour vendre le terrain nu, voire quitte temporairement son lieu de vie pour le faire entièrement reconstruire. Les maisons rénovées commencent toutefois à se faire une place dans le paysage immobilier.
Quant aux maisons mitoyennes, elles sont rares au Japon. Notez qu’on les nomme テラスハウス (terasuhausu, de l’anglais terraced house), tout comme la célèbre émission de télé-réalité.
民家 (minka), l’habitat traditionnel
Le terme 民家 (minka, « maison du peuple ») recouvre un grand nombre de bâtiments traditionnels japonais. A l’origine, il concernait uniquement les maisons habitées par les personnes n’appartenant pas à la caste des samouraïs, soit les paysans, les artisans et les marchands. De nos jours, on appelle minka tout type de logement ancien. En voici un échantillon :
- 町屋 (machiya) : la « maison de ville », habitat citadin allongé et construit sur deux niveaux, lieu de vie par excellence des marchands et des artisans. Les machiya sont devenues rares au Japon, mais on peut encore en apercevoir dans des villes comme Kyoto ou Nara ;
- 農家 (nōka) : la ferme, où vivent traditionnellement les paysans ;
- 漁家 (gyoka) : la maison des pêcheurs, que l’on trouve logiquement sur les zones littorales, notamment dans la préfecture de Niigata ;
- 山家 (sanka) : l’habitat des zones montagneuses.
Le style de minka le plus pittoresque est sans doute le gasshō-zukuri (合掌造り), littéralement « construction aux mains en prière ». Les maisons de type gasshō possèdent un imposant toit en chaume dont la forme évoque celle de mains jointes (d’où leur nom), qui leur permet de résister aux fortes chutes de neige. Les villages de Shirakawa-gō et Gokayama, inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO, sont célèbres pour cette architecture.
Les pièces de la maison
Maintenant que nous avons vu les bâtiments, continuons notre tour du propriétaire du vocabulaire du logement en japonais avec les pièces de la maison. Si les appartements japonais sont comparables aux nôtres, certaines particularités ont toujours cours aujourd’hui.
Le 玄関 (genkan), passage obligé
Tout logement japonais s’ouvre sur un espace appelé 玄関 (genkan). Il est de coutume d’y retirer ses chaussures et d’enfiler des chaussons appelés uwabaki (上履き). N’essayez jamais d’entrer chez un ami japonais en gardant vos chaussures d’extérieur : des guerres ont éclaté pour moins que ça. Cette exigence répond à un double impératif, tout d’abord pratique, pour garder l’intérieur propre et ne pas en abîmer les surface, surtout s’il est composé de tatamis, mais aussi spirituel : la culture japonaise entretient une séparation stricte entre l’extérieur, impur, et l’intérieur, qui doit être préservé de la souillure du dehors. Le genkan vient même des temples bouddhistes zen et son nom peut se traduire par « porte spirituelle » ou « porte de la connaissance profonde » !
Le 和室 (washitsu), la pièce japonaise traditionnelle
Elément essentiel de la maison nippone, cette « pièce japonaise » se rencontre même dans certains appartements modernes. Elle se reconnaît à son sol en tatami (畳), en lieu et place du plancher ou du linoléum. Le washitsu (和室) peut répondre à plusieurs usages : chambre, salon, salle à manger… Pour cette raison, on y trouve rarement des meubles fixes tels qu’un lit ou une grande table. A la place, ceux-ci sont installés et retirés au gré des besoins. Par exemple, il est de coutume d’y dormir sur un futon (布団), un matelas que l’on pose à même le sol, que l’on range ensuite dans un placard à panneaux coulissants appelé oshiire (押入れ).
Lorsqu’on veut se détendre, on s’assoit un un coussin nommé zabuton (座布団) et on glisse les jambes sous un kotatsu (炬燵), sorte de table chauffante. Le chauffage central étant rare au Japon, cette fonction est souvent accomplie par de petits réchauds d’appoint, comme celui du kotatsu, ou par un climatiseur réversible.
Les washitsu de grande taille comportent souvent une petite alcôve surélevée, le tokonoma (床の間). Celui-ci répond à une unique fonction : exposer des objets décoratifs, comme un bonsaï, un ikebana (生け花, arrangement floral), un kakemono (掛け物, affiche suspendue pouvant comporter une image ou une calligraphie) ou un okimono (置物, statuette).
La cuisine japonaise, 台所 (daidokoro)
La cuisine japonaise peut s’appeler 台所 (daidokoro), キッチン (kitchin, de l’anglais kitchen), voire 竈 (kamado, « poêle ») dans une maison ancienne. Une cuisine classique de métropole est généralement de petite taille et dispose des équipements suivants : évier, réfrigérateur, plaques de cuisson et hotte, four à micro-ondes, grille-pain, bouilloire et cuiseur à riz. Il est rare d’y trouver un lave-vaisselle ou un four de grande taille, même si c’est parfois le cas dans des logements plus spacieux.
Toilette et salle de bain, une affaire complexe
Il y a deux cas de figure : dans les plus petits appartements, toilettes et salle de bain peuvent être combinés en une seule et unique pièce, le unit bath (ユニットバス). Dans les logements plus vastes, c’est un peu plus compliqué.
Les toilettes japonaises
On y trouve tout d’abord les toilettes, dans une pièce distincte. Au Japon, elles peuvent s’appeler トイレ (toire, abréviation de トイレット, toiretto), 便所 (benjo) ou encore お手洗い (otearai). Pour y entrer, il faut enfiler une paire de chaussons en plastique réservés à cette pièce. Pensez d’ailleurs à bien les enlever en sortant, si vous ne voulez pas recevoir des regards médusés de la part de vos hôtes ! Les toilettes japonaises ou washlet (ウォシュレット) sont désormais mondialement connues pour leur sophistication : siège chauffant, fonction bidet, séchage et petit lavabo intégré, dont les eaux usées viennent remplir la chasse d’eau. Attention, cependant, certaines vieilles maisons ont conservé des toilettes traditionnelles, les 和式 (washiki). D’aspect particulièrement rustique, elles se rapprochent de nos toilettes « à la turque ».
La salle de bain japonaise
La salle de bain présente la particularité d’être divisée en deux parties bien distinctes. On entre tout d’abord dans le 洗面所 (senmenjo), un espace dans lequel on trouve le lavabo, des placards et souvent une petite machine à laver. Les sèche-linge sont plutôt rares dans les foyers.
Vient ensuite la salle d’eau, qui peut avoir plusieurs noms : 風呂 (furo), お風呂 (ofuro) ou 風呂場 (furoba). Elle est entièrement imperméable et est équipée d’une douche et d’une baignoire. Subtilité japonaise, on commence toujours par prendre une douche en dehors de la baignoire avant d’y pénétrer. En effet, celle-ci doit rester propre et a vocation à être partagée entre les membres de la famille. Interdiction donc de s’y savonner ! Certaines baignoires permettent même de conserver l’eau plusieurs jours et de la réchauffer juste avant de prendre son bain.
Le balcon, バルコニー (barukonī)
Il est courant de trouver un petit balcon, même dans les appartements de taille modeste. Celui-ci est plutôt vu comme un espace fonctionnel, par exemple pour étendre son linge, plutôt que comme un lieu de relaxation. Vous verrez donc rarement des Japonais se détendre sur leur balcon. Dans certains appartements, il possède une arrivée d’eau pour y installer une machine à laver.
Et les autres pièces ?
Comme nous l’avons vu plus tôt, chaque pièce de la maison japonaise traditionnelle est multi-fonction. Il n’y a donc pas d’espace désigné pour y installer un salon, une salle à manger ou une chambre à coucher : un même espace peut donc occuper successivement chacun de ces rôles. Avec l’occidentalisation de l’architecture, des pièces dédiées ont fait leur apparition et avec elles des meubles difficiles à déplacer : lit, table à manger, puis poste de radio et de télévision. Les salles japonaises se sont donc spécialisées.
La salon à l’occidentale s’appelle 居間 (ima) ou 居室 (kyoshitsu). On parle également de 茶の間 (chanoma, « espace pour le thé ») pour désigner un salon de style japonais. Il s’agit le plus souvent d’une salle de type washitsu, donc avec un sol en tatami, avec en son centre une table basse permettant d’y prendre le thé, voire un repas en famille. A moins d’imiter l’architecture des grandes demeures bourgeoises occidentales, les habitations japonaises ne possèdent pas de salle à manger (食堂, shokudō) dédiée uniquement à la prise de repas.
Quant à la chambre à coucher de style occidental, elle se nomme (寝室, shinshitsu). Autrefois inconnue des Japonais, elle a commencé à gagné en popularité après la seconde Guerre mondiale. Il est à présent normal de trouver une ou plusieurs pièces comportant un lit (plutôt qu’un futon) dans la majorité des logements japonais.
Le logement en japonais : trouver son lieu de vie
Terminons cet article par une section sur le vocabulaire de l’immobilier. Il vous permettra de mieux connaître les us et coutumes japonais et pourquoi pas de trouver un logement dans l’Archipel.
LDK, le jargon de l’immobilier
Si vous regardez un site de location, vous tomberez sans doute sur trois lettres mystérieuses : L, D et K. Voici de quoi il s’agit :
- L : living (リビング, ribingu), soit un salon ;
- D : dining (ダイニング, dainingu), la salle à manger, en général plutôt un coin repas qu’une grande salle à manger ;
- K : kitchen (キッチン, kitchin), la cuisine.
Les autres pièces (genkan, toilettes, WC) ne sont pas mentionnées. Une nuance importante : on cite ici des fonctions plutôt que des pièces : en fonction de l’organisation et de la superficie de l’appartement, le salon, la salle à manger et la cuisine peuvent tout aussi bien être regroupés dans une même pièce que séparés par des murs ! Un appartement LDK aura donc un salon, un espace repas et une cuisine, mais il pourra s’agir d’une, de deux voire de trois pièces différentes. Veillez à consulter le plan de sol (間取り図, madorizu) pour en avoir le cœur net.
Ces lettres peuvent être précédées d’un chiffre indiquant un nombre de pièces supplémentaires
Quelques exemples
- 1LDK : un appartement avec une chambre, cuisine, espace repas et salon (généralement l’équivalent de notre deux pièces) ;
- 2LDK : même chose avec deux chambres ;
- 1DK : une chambre et un espace cuisine – salle à manger (pas de salon distinct) ;
- 1K : une chambre et un petit espace cuisine situé à l’entrée ou dans un couloir, sans espace repas ;
- 1R : un appartement one room (ワンルーム, wanrūmu), soit un studio, avec une petite kitchenette, généralement avec une pièce de type unit bath (ユニットバス, toilettes + salle de bain) séparée.
On trouve aussi des appartements avec la lettre S, par exemple SLDK : S signifie storage, soit un cagibi. Plus rare, RF indique un roof floor, c’est-à-dire un espace en hauteur accessible par un escalier ou une échelle.
Autre spécificité japonaise : sur un plan, on peut lire le terme 和室 (washitsu), que vous connaissez déjà, pour une pièce japonaise avec un sol en tatami, mais aussi 洋室 (yōshitsu), pour une pièce de style occidental avec un sol en plancher ou linoléum.
Une histoire de tatamis
Notez que la superficie des pièces est indiquée en jō (畳), unité qui correspond à la surface d’un tatami. Vous pourrez ainsi trouver une mention du type 約6J, ce qui veut dire « environ (約, yaku) 6 jō« . Prudence cependant : la taille des tatamis varie en fonction des régions. On utile généralement le standard de Nagoya, soit 91 x 182 cm ou 1,65 m², mais celui de Tokyo est seulement de 88 x 176 cm ou 1,55 m², ce qui donne des logements plus petits à nombre de tatamis égal ! Pour cette raison, les annonces indiquent parfois la superficie en mètres carrés.
Les transactions immobilières
Si vous compter louer un logement au Japon, il vous faut contacter un agent immobilier (不動産屋, fudōsan’ya) dans une agence (不動産会社, fudōsangaisha). Il est presque toujours nécessaire de chercher le soutien d’un garant qui s’engagera à payer le loyer si vous n’êtes plus en mesure de le faire. Il peut s’agir soit d’une personne physique (保証人, hoshōnin), soit d’une entreprise spécialisée (保証会社, hoshōgaisha). Gagner trois fois le loyer et avoir un employeur prêt à vous écrire une lettre de recommandation augmenteront vos chances de trouver la perle rare.
Les (nombreux) frais d’entrée
Vous avez déniché le logement de vos rêves ? Félicitations ! Vous vous apprêtez à devenir locataire (借家人, shakuyanin) auprès d’un propriétaire (大家, ōya ou 家主, yanushi). Mais ne vous réjouissez pas trop vite, car l’addition va être salée.
Voici les frais qui vous attendent :
- 敷金 (shikikin) : une caution équivalant à un ou deux mois de loyer, dont une partie sert à couvrir le nettoyage du logement. Il est donc rare de la récupérer dans son intégralité ;
- 礼金 (reikin) : littéralement « argent de gratitude ». Une sorte de pas-de-porte (pour ne pas dire pot-de-vin…) versé au propriétaire, en principe en guise de remerciement. Dans les faits, cette somme qui peut représenter jusqu’à deux mois de loyer, n’est jamais restituée au locataire. Cherchez les annonces 礼金なし (reikin nashi) pour ne pas avoir à la payer ;
- 仲介手数料 (chūkaitesūryō) : les frais de l’agence immobilière, de l’ordre d’un mois de loyer + TVA ;
- 火災保険 (kasaihoken) : littéralement une « assurance incendie », plus généralement une assurance habitation multirisque ;
- 鍵交換費用 (kagikōkanhiyō) : les propriétaires japonais changent presque systématiquement la serrure de la porte d’entrée à l’arrivée d’un nouveau locataire et, naturellement, c’est à ce dernier de payer ;
- 保証会社利用料 (hoshōgaishariyōryō) : les « frais de caution » à verser à l’organisme qui s’est porté garant pour vous.
A cela s’ajoute le loyer du premier mois à payer en avance, au prorata de votre date d’entrée. Vous l’aurez donc compris : si vous prévoyez d’emménager au Japon, vous avez tout intérêt à provisionner l’équivalent de plusieurs milliers d’euros, simplement pour passer la porte de votre nouveau logement.
Les frais réguliers
La suite est heureusement plus reposante. Chaque mois, vous devrez bien sûr vous acquitter de votre loyer (家賃, yachin), mais aussi des charges locatives (共益費, kyōekihi) et des frais de gestion (管理費, kanrihi), plus ou moins élevés en fonction du standing de l’immeuble.
Sachez pour finir qu’un bail a une durée de deux ans. Au terme de cette durée, vous devrez le renouveler et verser au propriétaire (oui, encore !) des frais de renouvellement (更新料, kōshinryō), de l’ordre d’un mois de loyer.
Bonus : la fiche mémo avec tout le vocabulaire du logement en japonais
J’espère que cet article vous aura permis de mieux cerner la manière dont vivent les Japonais. Avant de repartir, un petit cadeau : pour vous aider à assimiler le vocabulaire de la maison, je vous ai préparé une fiche mémo récapitulative. Elle reprend les termes présents dans cet article, plus quelques autres qui vous seront utiles.
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